Les figures de l'image
La comparaison établit un rapprochement entre le comparé et le comparant par un outil de comparaison.
ex: Le poète est semblable au prince des nuées, Baudelaire.
La métaphore compare deux élément sans outil de comparaison (si elle se poursuit au fil du texte, elle devient une métaphore filée).
ex: Mon coeur est un palais flétri par la cohue. (Baudelaire)
La personnification attribue à une chose, un animal ou une idée des caractéristiques humaines.
ex: Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille. (Baudelaire)
L'allégorie représente une idée ou un sentiment sous une forme concrète et symbolique.
ex: la colombe est une allégorie de la liberté.
Les figures d'opposition
L'antithèse oppose deux termes de façon à mettre en valeur un contraste.
ex: Je n’ai jamais vu un enfant sans penser qu’il deviendrait vieillard, ni un berceau sans songer à une tombe. (Flaubert)
L'oxymore consiste à unir dans un même groupe des mots dont le sens est contradictoire.
ex: Un affreux soleil noir d'où rayonne la nuit. (Hugo)
Le chiasme consiste à reprendre dans une seconde expression deux termes d'une première expression, ou deux synonymes, ou termes opposés.
ex: Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. (Molière)
Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu. (Hugo)
Les figures d'insistance ou d'atténuation
L'anaphore répète un mot ou une expression à chaque début de phrase ou de vers.
ex: Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
Rome à qui ton bras vient d'immoler un amant. (Corneille)
Le parallélisme reproduit une même structure syntaxique.
ex: Je ne sais où je vais, je ne sais où je suis. (Racine)
La gradation dispose des termes de façon croissante ou décroissante.
ex: Je suis perdu, je suis mort, je suis assassiné. (Molière)
L'hyperbole amplifie la réalité dans le but d'accentuer l'effet ressenti.
ex: Verser un torrent de larmes, mourir de rire
L'euphémisme atténue par la formulation une idée choquante ou désagréable
ex: "elle nous à quitté" au lieu de "elle est morte"
La lilote atténue l'idée, mais sous entend davantage; elle est souvent à la forme négative.
ex: Va je ne te hais point. (Corneille) (au lieu de "je t'aime")
Les figures de substitution
La métonymie
La synecdoque
La périphrase
L'antiphrase
La comparaison établit un rapprochement entre le comparé et le comparant par un outil de comparaison.
ex: Le poète est semblable au prince des nuées, Baudelaire.
La métaphore compare deux élément sans outil de comparaison (si elle se poursuit au fil du texte, elle devient une métaphore filée).
ex: Mon coeur est un palais flétri par la cohue. (Baudelaire)
La personnification attribue à une chose, un animal ou une idée des caractéristiques humaines.
ex: Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille. (Baudelaire)
L'allégorie représente une idée ou un sentiment sous une forme concrète et symbolique.
ex: la colombe est une allégorie de la liberté.
Les figures d'opposition
L'antithèse oppose deux termes de façon à mettre en valeur un contraste.
ex: Je n’ai jamais vu un enfant sans penser qu’il deviendrait vieillard, ni un berceau sans songer à une tombe. (Flaubert)
L'oxymore consiste à unir dans un même groupe des mots dont le sens est contradictoire.
ex: Un affreux soleil noir d'où rayonne la nuit. (Hugo)
Le chiasme consiste à reprendre dans une seconde expression deux termes d'une première expression, ou deux synonymes, ou termes opposés.
ex: Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. (Molière)
Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu. (Hugo)
Les figures d'insistance ou d'atténuation
L'anaphore répète un mot ou une expression à chaque début de phrase ou de vers.
ex: Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
Rome à qui ton bras vient d'immoler un amant. (Corneille)
Le parallélisme reproduit une même structure syntaxique.
ex: Je ne sais où je vais, je ne sais où je suis. (Racine)
La gradation dispose des termes de façon croissante ou décroissante.
ex: Je suis perdu, je suis mort, je suis assassiné. (Molière)
L'hyperbole amplifie la réalité dans le but d'accentuer l'effet ressenti.
ex: Verser un torrent de larmes, mourir de rire
L'euphémisme atténue par la formulation une idée choquante ou désagréable
ex: "elle nous à quitté" au lieu de "elle est morte"
La lilote atténue l'idée, mais sous entend davantage; elle est souvent à la forme négative.
ex: Va je ne te hais point. (Corneille) (au lieu de "je t'aime")
Les figures de substitution
La métonymie
La synecdoque
La périphrase
L'antiphrase
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